"Une version améliorée de la tristesse". C'est le nom du deuxième album du québécois Peter Peter sorti en février dernier, nouveau venu très prometteur sur le devant de la scène new-wave mélancolique francophone. Composé suite à une douloureuse rutpture amoureuse, l'opus recéle de pépites evanescentes et vertigineuses comme une succession de petites pièces romantiques bourées de références cinématographiques. Il est en France cette semaine pour une série de concerts, le 26 mars à la Dynamo de Toulouse, le 28 à Avignon à l'affiche de l'Atypik Festival, le 2 avril aux Artefacts de Strasbourg, le 8 à l'affiche des Paradis Artificiels à Lille et sera de retour le 29 octobre pour une date parisienne à La Cigale.
PETER PETER en concert : info & réservation
En doublant son vrai prénom pour en faire son nom de scène, Peter Peter s'est construit un personnage de doux réveur romantique, proche de sa réélle personnalité. Après des débuts dans un "band" en affinité avec l'univers du métal, l'artiste plaque tout pour se consacrer à ses premières amours : la pop synthétique et éthérée.