22/04/2016
FOCUS / Karpatt sort son nouvel album !
Déjà vingt ans que Karpatt sème ses chansons, dans les bars et salles de France mais aussi à travers le monde. Le sixième album s'appelle Angora, titre hautement symbolique pour le trio. L'Angora, c'est le nom du lieu parisien où les chansons de ce disque sont nées. Angora aussi parce que Karpatt, c'est avant tout de la chanson populaire.
Depuis les « chansons roots » de l'album À l'Ombre du Ficus, et l'inoubliable titre Big Bossa, Karpatt aura fait un sacré chemin, de bars en salles de concerts, de Paris à l'Amérique Centrale en passant par l'Europe de l'Est et l'Indonésie. Une route ponctuée de titres devenus cultes pour son public fidèle. Soulève ta Jupe, Fan de Maman, Le Fil, Léon, Lino ou plus récemment Palais Royal, dédié à Mano Solo (sûrement le premier « fan » du groupe), ou Un Jeu qu'ils se sont amusés à remixer sur ce dernier album. Autant de refrains qui ont marqué quelques milliers d'esprits ces vingt dernières années. Avec légèreté et simplicité, avec des émotions sur le fil ou avec humour, Karpatt a construit une relation complice avec un public qui a suivi le trio dans toutes ses aventures, dans toutes ses orientations musicales.
Chanson française, jazz manouche, rock, et aujourd'hui explorant les rythmiques sud-américaines, ajoutant des petites touches électro çà et là, il n'y a pas de frontières dans les musiques créées par le guitariste Gaëtan Lerat , le contrebassiste Hervé Jégousso et le chanteur Fred Rollat , qui composent au gré des envies, mais aussi au gré des voyages et des rencontres ayant ponctué la vie de ces musiciens curieux, guidés surtout par l'envie de partager des émotions, d'emmener l'auditeur ailleurs.
Un désir que l'on ressent également à travers la plume de Fred Rollat. Toujours sincères, ses histoires nous touchent, qu'il s'agisse de textes intimistes (Partage), ou d'observation d'un monde qui part à vau-l'eau (Moulinette, Encombrants). Tel un peintre en sentiments, ce fin observateur trouve toujours les mots pour nous faire sourire, avec parfois un soupçon de nostalgie (Un jeu, Amours d'Été). La portée de ses histoires souvent vécues, ses mots simples et ses refrains entêtants est universelle. C'est bien comme ça que depuis 20 ans, ils ont pu partager avec des milliers de fans, à travers autant de concerts et six albums, cette « liberté de faire la fête », comme il le dit si bien dans Cordes, chanson narrant la jolie histoire d'un groupe libre et attachant.
Depuis les « chansons roots » de l'album À l'Ombre du Ficus, et l'inoubliable titre Big Bossa, Karpatt aura fait un sacré chemin, de bars en salles de concerts, de Paris à l'Amérique Centrale en passant par l'Europe de l'Est et l'Indonésie. Une route ponctuée de titres devenus cultes pour son public fidèle. Soulève ta Jupe, Fan de Maman, Le Fil, Léon, Lino ou plus récemment Palais Royal, dédié à Mano Solo (sûrement le premier « fan » du groupe), ou Un Jeu qu'ils se sont amusés à remixer sur ce dernier album. Autant de refrains qui ont marqué quelques milliers d'esprits ces vingt dernières années. Avec légèreté et simplicité, avec des émotions sur le fil ou avec humour, Karpatt a construit une relation complice avec un public qui a suivi le trio dans toutes ses aventures, dans toutes ses orientations musicales.
Chanson française, jazz manouche, rock, et aujourd'hui explorant les rythmiques sud-américaines, ajoutant des petites touches électro çà et là, il n'y a pas de frontières dans les musiques créées par le guitariste Gaëtan Lerat , le contrebassiste Hervé Jégousso et le chanteur Fred Rollat , qui composent au gré des envies, mais aussi au gré des voyages et des rencontres ayant ponctué la vie de ces musiciens curieux, guidés surtout par l'envie de partager des émotions, d'emmener l'auditeur ailleurs.
Un désir que l'on ressent également à travers la plume de Fred Rollat. Toujours sincères, ses histoires nous touchent, qu'il s'agisse de textes intimistes (Partage), ou d'observation d'un monde qui part à vau-l'eau (Moulinette, Encombrants). Tel un peintre en sentiments, ce fin observateur trouve toujours les mots pour nous faire sourire, avec parfois un soupçon de nostalgie (Un jeu, Amours d'Été). La portée de ses histoires souvent vécues, ses mots simples et ses refrains entêtants est universelle. C'est bien comme ça que depuis 20 ans, ils ont pu partager avec des milliers de fans, à travers autant de concerts et six albums, cette « liberté de faire la fête », comme il le dit si bien dans Cordes, chanson narrant la jolie histoire d'un groupe libre et attachant.