Avec une tournée qui s'annonce comme l'une des plus grandes jamais réalisées par le groupe, Indochine offre à son public un retour majestueux sur scène, mais aussi dans les bacs avec la sortie aujourd'hui de leur nouvel et douzième album, « Black City Parade ». L'opus s'annonce sombre, sur un fond de new-wave, à l'image de « Memoria », le premier extrait, déjà hissé au rang de « tube » au coeur de la discographie du groupe.
Indochine en tournée : info & réservation
Si le groupe français s'est toujours affirmé comme une valeur sûre des charts hexagonaux en très gros vendeurs d'albums, ils s'imposent aussi du côté de la scène en prolongeant l'univers des opus en tournée : pas moins de 800 000 personnes ont assisté à leur Météor Tour en 2008, qui s'est soldé par un concert événement au Stade de France. Cette fois, pour le Black City Tour qui sillonnera la France jusqu'en septembre 2014, c'est une invitation au voyage à travers des métropoles plus ou moins fantasmées que propose Indochine, illustré par 13 titres, essentiellement écris par Nicola Sirkis lui-même, à l'exception de « Traffic Girl », signé par Lescop. Fidèle à sa réputation de perfectionnisme, le groupe devrait offrir à son public un scénographie unique, qui devrait prendre toute sa dimension dans les plus belles salles de concerts du pays. Côté titres, il y a fort à parier que le public reprendra en choeur l'hymne à la jeunesse chanté dans « Le fond de l'air est rouge », qui fait référence au « Printemps érable » ayant eu lieu au Québec l'année dernière, ou le refrain-slogan du percutant « College Boy », plaidoyer contre l'homophobie ambiante. Plus surprenants, les titres « Wuppertal », du nom de la ville natale de Pina Bausch ou « Kill Nico » sauront faire office de conclusion du show, et convaincront les premiers fans du groupe comme les dernières recrues. En bref, un album élégant et puissant qui devrait une nouvelle fois soulever les foules.
Indochine en tournée : info & réservation
Si le groupe français s'est toujours affirmé comme une valeur sûre des charts hexagonaux en très gros vendeurs d'albums, ils s'imposent aussi du côté de la scène en prolongeant l'univers des opus en tournée : pas moins de 800 000 personnes ont assisté à leur Météor Tour en 2008, qui s'est soldé par un concert événement au Stade de France. Cette fois, pour le Black City Tour qui sillonnera la France jusqu'en septembre 2014, c'est une invitation au voyage à travers des métropoles plus ou moins fantasmées que propose Indochine, illustré par 13 titres, essentiellement écris par Nicola Sirkis lui-même, à l'exception de « Traffic Girl », signé par Lescop. Fidèle à sa réputation de perfectionnisme, le groupe devrait offrir à son public un scénographie unique, qui devrait prendre toute sa dimension dans les plus belles salles de concerts du pays. Côté titres, il y a fort à parier que le public reprendra en choeur l'hymne à la jeunesse chanté dans « Le fond de l'air est rouge », qui fait référence au « Printemps érable » ayant eu lieu au Québec l'année dernière, ou le refrain-slogan du percutant « College Boy », plaidoyer contre l'homophobie ambiante. Plus surprenants, les titres « Wuppertal », du nom de la ville natale de Pina Bausch ou « Kill Nico » sauront faire office de conclusion du show, et convaincront les premiers fans du groupe comme les dernières recrues. En bref, un album élégant et puissant qui devrait une nouvelle fois soulever les foules.