RUFUS WAINWRIGHT

Concerts de Rufus Wainwright

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Biographie de Rufus Wainwright

2007 : "Avec Release The Stars", son cinquième album en dix ans, Rufus Wainwright construit de façon artistique l'intimité qu'il recherchait, tout en créant une oeuvre d'envergure encore plus ambitieuse que l'album Want Two, sorti en 2004, acclamé par la critique. C'est un peu comme s'il échangeait des confidences en tête à tête de la scène du Metropolitan Opera House de New York au beau milieu d'une représentation de, disons, « Aida ».

A chaque instant le son ravit l'oreille, et cependant il ne sert qu'à souligner la performance de Rufus Wainwright comme commentateur, confesseur et chanteur-vedette. A cette échelle, ses talents de compositeur et interprète, tout aussi brillants que caractéristiques, apparaissent de façon encore plus évidente. Les émotions sont sublimées, ses histoires plus vivantes, dramatiques, drôles, réelles- et parfois très émouvantes. Release The Stars est aussi franc et personnel que ce qu'en avait imaginé Wainwright.

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"Rufus Wainwright And Amsterdam Sinfonietta Live"

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Unfollow the Rules

"Unfollow the Rules"

05/2020 -
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Out of the game

"Out of the game"

04/2012 - Decca
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All Days Are Nights - Songs For Lulu

"All Days Are Nights - Songs For Lulu"

04/2010 - Decca
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Milwaukee at last !

"Milwaukee at last !"

09/2009 - Decca
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Release the stars

"Release the stars"

05/2007 - POLYDOR
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Avis sur Rufus Wainwright


Isabelle B.
4 critiques
  Avis écrit le 13 Juin 2007

Le 20/02/2007 - Paris - Olympia.
« Et je fondais [...] dans un cercle démonique ! »

C'est ainsi que Rufus Wainwright, mimant la scène, raconte comment il jouait à être la sorcière du magicien d'Oz les jours où, enfant, il était de mauvaise humeur; "lorsque j'étais heureux, j'étais Dorothy" ajoute-t'il.

Et j'ai « fondu » moi aussi, est-il vraiment utile de le dire, devant l'éblouissante prestation de celui qui pendant plus de deux heures, m'a embarqué dans un univers qui (n'ayant jamais été celui de Judy Garland pour moi) restera éternellement gravé dans ma mémoire comme étant le sien. Tour à tour cabotin ou grave, dansant, roulant des yeux dans tous les sens ou assis au bord de la scène, Rufus Wainwright a fait le spectacle, assisté d'un orchestre symphonique de quarante personnes.

Retour sur ce 20 février 2007 où l'Olympia tout entier (hommes ou femmes) se régale en dévorant sans vergogne cette exquise gourmandise, malgré le dépit évident de l'artiste d'être malade et les multiples trahisons de sa voix qui le désespèrent, allant jusqu'à lui faire dire "mais pourquoi est-ce que je fais ça, qui est responsable de ce fiasco ? (« Why am i doing this ?, who's the head of this fiasco ? »). Et tandis qu'il répond à sa propre question ("because it's fun !"), une voix s'élève du premier rang pour lui crier ce que nous pensons tous : "because we love you !".

C'est bien d'amour dont il s'agit de soir là, entre lui et son public. Et il faut être bien insensible - oserai-je dire, imbécile – pour ne pas déceler, sous le masque de l'éternel amuseur, la détresse d'un homme conscient de son incapacité à se donner à cent pour cent. Plus la voix de Rufus se dérobe, plus il tente de se rattraper en faisant le pitre et plus on le sent piégé. A en devenir irrésistible. Car il ne souffre pas seul, c'est tellement palpable. Sa sœur Martha essaiera même de le réconforter en lui disant quelques mots, avant de reprendre « Stormy Weather » d'une éclatante façon, éclipsant de très loin la prestation de Lorna Luft, la propre fille de Judy (que j'ai détesté soit dit en passant). Il n'y a pas l'homme sur scène d'un côté, et le public qui le juge de l'autre non, bien au contraire : tous, nous sommes de son côté ! Qu'il s'agisse de couples homo (nombreux) ou hétéro, de personnes seules, tous sont venus ici jouir du plaisir de voir Rufus Wainwright sur scène. Sauf que ce soir, non content de réaliser un rêve de gosse en reprenant sur scène le mythique spectacle de Judy Garland, Rufus Wainwright se paye le luxe, justement parce qu'il est malade, de n'être pas seulement un amuseur public venu faire le show d'une façon détachée, mais aussi et surtout d'être l'artiste vulnérable et fragile qui sait toucher au coeur.

Nul besoin, pourtant, de limiter sa prestation à celle de quelqu'un qui n'aurait que su susciter l'empathie d'amoureux désolés. La soirée est bien au-delà de cela, et elle est très réussie. "The show must go on" ? las, dans ce registre, Rufus est le roi, et son talent est immense, magnifique. Il se sort de tout. Il est génial. Le charisme ne se décrète pas, le sien est tellement évident qu'il en devient presque hypnotique. Il attire et retient tous les regards, il semble impossible de s'en détacher. Dans la rangée juste derrière moi, une jeune femme visiblement époustouflée murmure à son fiancé : « c'est là qu'on reconnaît un artiste ! ». Quant à moi qui n'avais pas été emballée par l'album de Judy écouté avant le concert, j'ai baissé toutes mes barrières : je suis émue sur "I can't buy you anything but love", je swingue sur "Chicago", je ris sur "Nearer", je pleure sur "Over the rainbow", je claque même des doigts sur les morceaux les plus jazzy, enfin, je savoure chaque moment qu'il sait transformer en trésor un peu magique, me délecte du spectacle, ne vois pas le temps passer. Je m'amuse. J'adore ça ! J'adore ce Rufus là ! J'ai, fixé sur mon visage, un bête sourire de gosse émerveillé qui ne me quittera pas de toute la soirée. N'en déplaise à l'autre fille de Judy Garland, Lizza Minelli, cette « vieille sorcière » qui doit jubiler et « prendre sa revanche ce soir » (Lizza Minelli, au contraire de sa sœur, était farouchement opposée à la reprise de ce concert).

On est une star où on ne l'est pas, et en ce qui le concerne, Rufus Wainwright n'a jamais eu aucun doute à ce sujet. Mais pour moi, c'est bien à l'Olympia, cet Olympia qui l'a soutenu, porté, aimé, adoré qu'il l'est devenu officiellement aux yeux du monde.

Standing ovation d'une salle dont je comprends enfin pourquoi tant d'artistes l'ont qualifiée de magique, comme si elle avait une âme, comme si elle pouvait délivrer, lors d'exceptionnels moments de grâce, le rare sésame d'une communion unique entre un artiste et son public.

Rufus saluait une dernière fois et j'étais debout avant les autres, dans mon fameux "Rufus Rufus Rufus tee-shirt orange", bouleversée, articulant du bout des lèvres un misérable "don't go".
C'était fini.
"Et je fondais"...

Il fallait être à l'Olympia ce soir, devant le "plus grand artiste de variété au monde".

isabelle (isa92 / isatagada)
http://www.myspace.com/isatagada
http://isatagada.blog.com/




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Rufus Wainwright sings J. Garland Paris 20 fev 2007
http://rufuswainwright.site.voila.fr/

01 Overture
02 When You're Smiling (The Whole World Smiles w U)
03 Almost Like Being In Love
04 Do It Again
05 You go to my head
06 Alone Together
07 Who Cares (As Long As You Care For Me)
08 Puttin' On The Ritz
09 How Long Has This Been Going On
10 Just You Just Me
11 The Man That Got Away
12 San Francisco
13 That's Entertainment
14 I Can't give you anything but love
15 Come Rain Or Come Shine
16 You're Nearer
17 Stephen's BDay - Foggy Day
18 If Love Were All
19 Zing! Went The Strings Of My Heart
20 Stormy weather (Martha)
21 You Made Me Love You / For Me & My Gal / The Trailer Song Medley
22 Rock-A-Bye Your Baby With A Dixie Melody
23 Over the rainbow
24 Introducing Band
25 Swanee
26 After You're Gone (with Lorna Luft)
27 Chicago
28 Get Happy

Isabelle B.
4 critiques
  Avis écrit le 13 Juin 2007

Le 22/05/2007 - Trianon.
Rideaux rouges et plafond peint, théatre du Trianon, 20 heures ce mardi. Bien tôt pour un spectacle parisien. Pourtant Rufus Wainwright débarque sur scène, sans retard ni première partie, et surprend les nombreux retardataires encore entrain de s'installer. C'est donc au milieu d'un joyeux bordel (brouhaha général, rangées entières qui se lèvent pour laisser passer les indisciplinés) que le "pape de la pop" démarre son set. Le ton est donné. Et le dépouillement ne sera pas de rigueur ce soir.
Pour cette série de concert, écrin de son album "Release The Stars" tout juste sorti dans les bacs, le groupe qui accompagne l'artiste fait la part belle aux cuivres et aux hommes. Exit les ravissantes choristes et les violons (Martha Wainwright, Juliana Ray ou encore Joan Waser ont de toute façon fort bien démarré leur carrière solo), place au cors de chasse, à la trompette, au saxophone et aux flûtes.
Ni la simplicité ni la retenue ne font partie des choix actuels de monsieur Wainwright. Les musiciens sont nombreux (sept), les cuivres omniprésents, tous portent chemises et pantalons à rayures, couleurs vives et broches en strass tapageuses.
Comme le dira mon amie Isabelle un peu plus tard, le dandy flamboyant semble avoir définitivement tourné la page d'une époque plus torturée d'influence Leonard Cohen, pour s'ancrer définitivement, suite logique de sa récente série de concerts hommage, dans une ère plus festive façon Judy Garland.
Rien n'est laissé au hasard, jusqu'au choix des titres des albums précédents qui n'accorde presque aucune place aux chansons plus intimistes. L'album Poses, que je distingue entre tous, est à mon grand damn, complètement mis de côté. Et hormis la très belle "The art teacher", c'est la très cinématographique "Go or go ahaead", les peu inspirées "Beautiful child" et "Gay messiah" ou encore "14th street" qui gagnent leur place sur scène. Franchement pas mes préférées...
Faut-il poser les mots ? Je suis déçue je crois. Manque d'émotion, de moments rares qui font tout oublier. Trois instants pourtant, sauvent la soirée. La fantastique et presque irréelle performance vocale de l'artiste sur "Do I dissapoint you", en harmonie totale avec l'orchestre. Véritablement bluffant tant la voix fait corps et se fond avec et dans la musique. La très belle « Nobody's of the hook », qui ne m'avait pas convaincu sur l'album en raison de violons trop mièvres à mon goût, et qui réussi presque à m'embarquer totalement au Trianon en simple piano voix ... Oui, sauf qu'au moment précis où je me sens glisser tout à fait vers la félicité absolue (enfin !), le clown de service s'emmêle les pinceaux et me réveille brutalement d'un « oh fuck ! » pour lequel je l'étranglerais bien volontiers. Pour finir, je me régale de son délire jouissif de gosse heureux, travesti en Madonna de Cabaret, collants, rouge à lèvre et boucles d'oreilles qui scintillent, chapeau noir à large bord, talons aiguilles et veste de smoking, pour un « Get Happy » qui fait se lever une salle hilare et enthousiaste.
Près de trois heures de grand spectacle, sans doute trop riche (voire indigeste ?) mais je l'avoue, je suis sans doute une peu dure, travers classique de la fan que je suis devenue .... Alors malgré mes regrets d'un Rufus plus subtil (ou plus noir), pour être tout à fait objective, ce type là reste en France et dans le monde un extra terrestre magnifique qui ne souffre à ma connaissance aucune concurrence ...

isabelle (isa92/isatagada)

http://www.myspace.com/isatagada
http://isatagada.blog.com/

Isabelle B.
4 critiques
  Avis écrit le 27 Février 2006

Le 11/05/2006 - La Cigale.


11 mai 05 : Rufus désacralisé



Depuis l'Olympia, je rêvais de revoir sur scène Rufus l'extra-terrestre, le génial compositeur, l'amoureux fou de musique classique. J'avais répandu la bonne parole autour de moi, parlé de cet artiste majeur et de son piano incroyable, tenté de convaincre pour que d'autres le découvrent à leur tour. Pari réussi, et deux personnes ce soir là qui ne viennent que sur mes beaux discours et quelques écoutes ...
Mais à la Cigale, le Rufus que j'ai rencontré était à la fois le même et en même temps bien différent de celui dont j'avais cru croiser la route en ce soir d'Olympia, deux mois plus tôt.

L'être sacré, celui qui comblait mes aspirations cérébrales et osons le dire, plutôt snobinardes, est redevenu ce soir là, un être humain. A la fois toujours aussi génial mais par instants plus léger, plus drôle, plus amer aussi, plus ironique. Moins "classieux" et à la fois ... tellement plus touchant !

Celui qui savait à la fois jouer solo de son piano savait aussi conduire un groupe et faire son show. Celui qui était si grave était aussi capable de s'amuser. Celui qui était si loin de ma sphère savait aussi rappeler à quel point il était aussi vulnérable que n'importe lequel d'entre nous.

J'étais déçue. Je crois. Par orgueil sans doute.

Pourtant c'est peut être ce soir là qu'il a achevé de me convaincre tout à fait ...

**********************************

1. Agnus Dei
2. Crumb By Crumb
3. Peach Trees
4. Hometown Waltz
5. Vibrate
6. Grey Gardens
7. The Art Teacher
8. This Love Affair
9. The One You Love
10. Gay Messiah
11. Want
12. Beautiful Child
13. Memphis Skyline
14. Hallelujah
15. Across the Universe
16. Beauty Mark
17. Little Sister
18. Dinner at Eight
19. Waiting for a Dream
20. Cigarettes and Chocolate Milk
21. 14th Street
1er rappel :
22. Old Whore's Diet
23. Oh What a World
24. I Don't Know What It Is
2ème rappel :
25. Pretty Things
26. California

Isabelle B.
4 critiques
  Avis écrit le 27 Février 2006

Le 22/03/2006 - Olympia.
C'est une histoire bêêêêêêêêêête.

On va à un concert, voir un groupe qui a pignon sur rue. Les Keane en l'occurence.

Et puis on tombe sur une première partie. Un mec avec son piano. Spendide, majesteux, rutillant, énorme; un piano à queue noir étincellantà faire baver d'envie tout amateur de musique.

Le mec est dedans, il fait corps avec son piano, on ne comprend pas ce qu'il chante, il est tellement space, et puis quoi ? il chante en latin ?!!!!

Mes copines se tirent au bar, désespérées de ce truc qui n'en finit pas ("ça démarre quand ?").

Moi je reste là avec mon cher et tendre, scotchés, fascinés que nous sommes devant cet extra terrestre dont nous n'avons JAMAIS entendu parler, retenez bien ce nom : Ru-fus Wain-wright !

Les titres suivants abandonnent le latin, mais le sentiment d'étrangeté, d'être tombé aussi sur un artiste unique, si loin de tout ce que l'on peut entendre actuellement demeure.

C'est le coup de coeur, hum, j'avoue, le coup de foudre !!!!

Lorsque Keane arrive à la suite avec ses claviers (minables après un tel monstre) arghhhh, la magie est brisée, j'ai du mal à le leur pardonner. L'ordre naturel me semble inversé ... Je me demande ce que le sieur Rufus, qui, c'est tellement évident, joue dans une toute autre cour vient faire dans une première partie !!!!! Et il me faut trois chansons pour apprécier le cpncert. Moi qui suis pourtant venue pour eux !!!

Je me précipite sur le net pour en savoir plus, pour réentendre tout ça. Je me sens boulimique ...

Et plus j'en apprends et plus la fascination augmente :

Le type n'est pas un débutant, 4 albums déjà à son actif ! Avec ses remerciements adressés en vrac à : Léonard Cohen, David Bowie, Elton John etc ...

Et des participations à 39 autres disques !!!!! Du coup on le connnait sans le connaitre, par le biais des producteurs de films qui se l'arrachent semble t'il : « Moulin Rouge » (« La complainte de la butte ») « My name is Sam » (« across the universe ») « Schrek » (« Hallelujah), « Bridget Jones l'age de raison » (« I eat dinner ») « Aviator » (« I'll Build A Stairway To Paradise »)

Je tombe des nues !

Sur son 2° album "Poses", dont il signe les textes et la musique, on retrouve de grands noms comme Teddy Thompson, Melissa Auf Der Maur, ex-bassiste de Hole et des Smashing Pumpkins, ou encore Alex Gifford, moitié du duo anglais The Propellerhead.

Sur le 3° album "Want one", il mèle rock et musique classique (le boléro de ravel) sur un titre annonciateur de l'album suivant "Want two", trèèèèèèèsssssssssss personnel et hallucinant (c'est celui là qu'il jouait à l'Olympia en 1ère partie de Keane).

J'ai vu que certains étaient fans de Jeff Buckley ici, peut être le connaissent ils. En fait le dernier album contient une chanson où Rufus Wainwright retrouve le fantôme de Jeff Buckley, qu'il avoue avoir longtemps détesté et jalousé avant de le rencontrer en vrai peu de temps avant sa mort. C'est bôôôôôôôôô arghhhhhhhhh !!!!

Et puis tellement différent de tout le reste : des messes latines au pop rock, tout y passe (même un menuet !!!), c'est une vriae claque pour qui aime la musqiue et les instruments !

J'ai lu que le garçon était fou des grands compositeurs classiques, Schubert, Mozart, et ça s'entend !

Aïe, j'ai été un poil longue il me semble !!!!!! Faut me compendre aussi ! Il y a 5 jours je ne connaissais rien de ce petit génie ! Alors j'espère que vous me pardonnerez l'enthousiasme un peu trop dithyrambique de la découverte !

J'ai fait fort : acheté tous ses albums d'un coup (sauf un plus disponible à la vente mais qu'ils vont remettre après mon exposé à la fanc lol !!!!), et pris des places pour aller le voir à la cigale le 11 mai !!! Et si je pouvais j'irai m'en prendre plein les oreilles au printemps de Bourges le 23 avril !!

Bref, ce type est à voir, ab-so-lu-ment ! Grosse claque assurée !!!


(écrit le 27 mars 2005, posté ici avec un "léger" retard ce 27 février 2006 ... mais il n'est jamais trop tard pour bien faire !!!)

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