MORBID ANGEL
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Biographie de Morbid Angel
1984, en pleine mouvance « trash made in bay area » (San Francisco), débarque de Floride un quartet emmené par le guitariste Trey Azagtoth. A l'instar de Death, le groupe joue du death métal, c'est à dire des vocaux d'outre-tombe, une double grosse caisse qui martèle une symphonie de l'enfer et une inspiration puisée dans les films d'horreurs.
Pourtant ce n'est que 5 ans plus tard, en 1989, que le groupe délivre sa première offrande « Altar of Madness ». Avec un métal racé et rapide emmené par la voix rauque de D. Vincent et le phénoménal jeu de batterie de P. Sandoval. Le combo enfonce le clou en 91 avec « Blessed are the sick », véritable chef d'uvre de puissance et de technique. Cet album est la référence death métal américain : un son puissant, une parfaite alternance entre morceaux rapides et lents, des solos supersoniques et une inspiration jamais prise en défaut. La même année, leur label Earache sort leur premier enregistrement (jamais sorti) datant de 1986.
Les deux albums suivants, « Covenant » et « Domination » seront assez décevants et il faudra attendre 1996 pour LE live death métal de la décennie : »Entangled in chaos » ravage tout sur son passage, 11 titres titanesques, de l'énergie à revendre et un très bon son. Qui marque en réalité la fin d'une époque : le bassiste-chanteur D. Vincent quitte le groupe, Morbid Angel agonise.
1998 la résurrection : armé d'un nouveau bassiste dans la personne de Steve Tucker, le groupe revient en force, plus soudé que jamais, avec un album ultra brutal répondant au doux nom de « Formulas Fatal To The Flesh »... Lors de la longue tournée qui suit, Morbid Angel démontre son efficacité retrouvée et confirme en 2000 avec un nouvel album « Gateways to annihilation » qu'il est bien une valeur sûre du death métal.